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"Il faut au contraire dire que ce qui est une idée dextrême droite, cest de fonder la nationalité exclusivement sur le sang, sur lappartenance ethnique, sur ce qui par nature ne peut jamais être révoqué. Car les doctrines dextrême droite tournent radicalement le dos à la conception historique ouverte de la Nation française, fondée sur ladhésion à lidéal républicain et sur la volonté commune de vivre ensemble qui unit tous les citoyens français !" "Le débat public et libre témoigne de la force de notre démocratie" et "chacun a droit au respect de son opinion". "Mais, devant les Français, il est sage déviter tout amalgame, décarter les arguments infondés. Priver de la nationalité française ceux qui tuent aveuglément dautres Français au nom dune idéologie de terreur est un acte symbolique fort, qui sanctionne ceux qui se sont eux-mêmes exclus de la communauté nationale. Rien de moins, rien de plus", poursuit le Premier ministre. Cette mesure n'est selon lui "aucunement une remise en question du droit du sol puisque la possibilité de déchéance concernera tous les terroristes binationaux condamnés pour crimes, quel que soit le mode dobtention de la nationalité, droit du sol ou filiation. Évitons de laisser indûment penser que le droit du sol ferait obstacle à une proposition qui recueille une très large adhésion parmi les Français. Trench burberry pas cher
Ce nest nullement le cas". La décision d'inclure dans la Constitution la déchéance de nationalité pour les binationaux continuent de faire de sérieuses vagues à gauche sous l'oeil narquois de la droite remarque la presse quotidienne mardi. "La décision de François Hollande d'étendre la déchéance de nationalité à tous les binationaux, y compris ceux nés en France, ne cesse de creuser une véritable fracture à gauche", écrit Patrick Roger dans un article en Une du Monde. "Entre grogne et fureur, la gauche est au bord de la crise de nerfs", remarque Jean Levallois La Presse de la Manche. "Lextension de la déchéance est une question hautement inflammable qui na pas manqué de mettre le feu aux poudres, à gauche notamment", souligne Stéphane Siret de Paris Normandie. Dans Libération, David Carzon estime que "la petite phrase de Valls sur cette gauche qui ségare au nom des grandes valeurs a achevé de déboussoler son propre camp plutôt que de convaincre". "Le contexte justifie-t-il de renoncer à ce qui constitue un socle commun dengagement La réponse est non", ajouté Libé. Sac a main burberry pas cher "Lindignation, ça se travaille. Surtout chez les socialistes", ironise, dans Le Figaro, Paul-Henri du Limbert qui dénonce "le concours dexpressions grandiloquentes, et donc risibles, que provoque dans son propre camp sa décision sur la déchéance de la nationalité". "Évidemment, ça grogne dans la majorité", constate Olivier Auguste dans L'Opinion qui y voit "la preuve que la peur est mauvaise conseillère et quil faut toujours éviter de voter des textes sous le coup de lémotion". Pour La Charente Libre, Dominique Garraud écrit que des responsables socialistes "et non des moindres comme Martine Aubry où lancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault y voient une erreur fatale en prévision de la présidentielle de 2017." Pourtant, "les tacles, les leçons desprit républicain et de droit constitutionnel, les peaux de bananes qui lui sont adressés tous azimuts, ne font que renforcer les convictions" de Manuel Valls, pense Hervé Chabaud L'Union." Dans la Voix du Nord, Hervé Favre décèle dans cette affaire un machiavélisme tout mitterrandien de François Hollande qui avec Manuel Valls auraient "délibérément choisi de désespérer la gauche jusquau bout du quinquennat et de flatter lopinion en attente de mesures drastiques contre le terrorisme, et cela afin délargir leur propre horizon politique aujourdhui bouché par labsence de résultats sur le terrain". L'Iran a transféré lundi une importante cargaison d'uranium faiblement enrichi vers la Russie, une étape cruciale de l'accord historique sur son programme nucléaire conclu avec les grandes puissances l'été dernier. Burberry pas cher
Les Etats-Unis ont salué cet accomplissement qualifié par le secrétaire d'Etat américain John Kerry de "progression importante" vers la mise en oeuvre de l'accord destiné à empêcher Téhéran de se doter de l'arme atomique. Le ministère russe des Affaires étrangères a confirmé cette expédition, tout comme le chef du programme nucléaire iranien Ali Akbar Salehi qui a indiqué à l'agence de presse Isna que "le processus de transfert du combustible s'est déroulé". Faisant référence à des sources iraniennes et russes non identifiées, Isna a précisé que "la quantité d'uranium transféré en Russie dépassait 8,5 tonnes et l'Iran a reçu en échange environ 140 tonnes d'uranium naturel".Kerry a évoqué le transfert de 25.0 livres un peu plus de 11 tonnes de "matériaux d'uranium faiblement enrichi". Cela comprend, selon lui, la totalité de l'uranium enrichi à 20% qui n'avait pas encore été assemblé sous forme de plaques de combustible à destination du réacteur de recherches de Téhéran. Le porte-parole du département d'Etat Mark Toner a précisé que la cargaison contenait différents types d'uranium faiblement enrichi, en particulier à 5 et 20%, des déchets métalliques et des plaques de combustible inachevées.

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